L’absence de structure est impossible, puisque dans les relations interpersonnelles, les facteurs sociaux, par exemples le différences de socialisation (par exemple entre les hommes et les femmes), les préjugés, etc, créent eux-même une structure sociale. Donc si l'on refuse d'admettre qu'il y a bel et bien une structure, ces inégalités sociales vont non-seulement former le coeur de la structure, mais surtout rendre impossible la critique de cette structure. Dans le cadre de la lutte anticapitaliste, la non-structure est vouée à recréer les inégalités sociales, d'une manière telle qu'elle met sérieusement en jeu la capacité de créer un monde égalitaire. Je vais diviser cet atelier en une première partie sur l’importance de la définition des objectifs, pour ensuite parler de la non-structure dans un groupe, et de la non-structure macro, soit la façon dont l’interrelation entre les groupes est souvent dépourvue structure. Tout cela sera ponctué de réflexion collectives sur les formes de structures pouvant résoudre des problème.
Une présentation de Guillaume B.
Au bar-coop l’AgitéE, mercredi 7 novembre 2012 19h.
mardi 23 octobre 2012
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